Infections urinaires compliquées récidivantes à l'ère de la résistance aux antibiotiques
2015
Médecine générale/Infectiologie
Mots clés : Infections urinaires récidivantes, résistance aux antibiotiques, équipe multidisciplinaire
Les infections urinaires récidivantes (IUR) touchent principalement les femmes et constituent un enjeu de santé publique pour des raisons économiques et écologiques.
Elles représentent 4 % des IU. Les facteurs de risques sont généraux (maladies sous-jacentes, sexualité, ménopause,…) et locaux (prolapsus,…). Au vu
de l’augmentation de la résistance aux antibiotiques des bactéries responsables d’IUR, leur prise en charge nécessite une expertise initiale médicale et
chirurgicale (urologie, néphrologie, bactériologie, infectiologie) afin d’éliminer une étiologie réversible. En l’absence de celle-ci, une
concertation multidisciplinaire devra définir les modalités thérapeutiques comportant les règles hygiéno-diététiques, associées si besoin
à la prise d’extraits de canneberge et/ou à une antibiothérapie préventive.
Elles représentent 4 % des IU. Les facteurs de risques sont généraux (maladies sous-jacentes, sexualité, ménopause,…) et locaux (prolapsus,…). Au vu
de l’augmentation de la résistance aux antibiotiques des bactéries responsables d’IUR, leur prise en charge nécessite une expertise initiale médicale et
chirurgicale (urologie, néphrologie, bactériologie, infectiologie) afin d’éliminer une étiologie réversible. En l’absence de celle-ci, une
concertation multidisciplinaire devra définir les modalités thérapeutiques comportant les règles hygiéno-diététiques, associées si besoin
à la prise d’extraits de canneberge et/ou à une antibiothérapie préventive.
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